Un grand sportif est aujourd’hui presque comme une PME à lui seul : Lewis Hamilton est ainsi suivi par plusieurs spécialistes, dont le plus connue est sa physio, Angela Cullen.

En cette année de tensions, voire de possibles blessures (au cou après l’accrochage de Monza avec Max Verstappen), Lewis Hamilton sait combien il est redevable de sa physio. Elle l’avait par exemple accompagné, juste après Monza, à New York, pour prendre soin du cou du pilote Mercedes, au gala du MET à New York.

« Je ne pense pas que cette année nous ait rapprochés plus qu’une autre, car nous sommes déjà incroyablement proches. Nous aimons notre travail, nous aimons faire ce que nous faisons, nous aimons le faire ensemble. »

« Je suis incroyablement reconnaissant de pouvoir l’avoir avec moi. Je ne pense pas que je pourrais le faire sans elle. »

Depuis 2016, la relation entre Cullen et Hamilton a évolué pour le mieux – et la vie professionnelle se poursuit en vie amicale.

« Angela et moi sommes naturellement très proches, nous vivons pratiquement ensemble. Nous sommes également proches en tant qu’amis. J’ai donc beaucoup de chance d’avoir trouvé Angela, car c’est un être humain très spécial. »

« En fait, quand je suis arrivé en Formule 1, je n’avais pas d’entraîneur jusqu’à ce que je sois en F1, et on m’a donné un entraîneur. À l’époque, on les appelait tous des physios. Quelques-uns des entraîneurs que j’ai eus n’étaient pas des physios, mais ils étaient appelés le physio pour le week-end de course. »

« C’était généralement un gars avec qui j’avais travaillé, [qui] était sur la route avec moi et s’entraînait avec moi, mais j’ai commencé à remarquer que j’avais des problèmes… de temps en temps, de petites blessures apparaissent, ou vous vous rendez compte que vous avez un problème de cou ou autre, mais je n’ai jamais eu personne qui était capable de régler ça. »

« Ce n’est qu’après que je suis revenu et que j’ai vu Angela, alors je lui ai dit : “Écoute, pourquoi ne viens-tu pas sur la route avec moi ? Je ne m’entraîne pas le week-end de la course. En fait, j’ai besoin d’un physio qui connaît mon corps et sait ce dont il a besoin pour être le mieux préparé possible pour un week-end de course. »

« Tout au long de ce parcours, nous avons évolué ensemble dans notre façon de gérer nos week-ends, de nous préparer, de prendre la voie la moins stressante et de nous assurer que je suis aussi frais que possible lorsque je monte dans la voiture. »

« Angela est généralement avec moi jusqu’à 22 ou 23 heures tous les jours, et avec moi à 6 ou 7 heures tous les matins. C’est donc un rôle très important, une relation très importante. »

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